Mobilité active

Agir face à l’urgence

Il y a urgence à chercher à développer les déplacements doux ou actifs en lieu et place des déplacements utilisant des moteurs thermiques pour plusieurs raisons :

Se préparer à la moindre disponibilité des sources fossiles de l’énergie
Réduire les émissions de GES (gaz à effets de serre)
Réduire la pollution de l’air et les nuisances sonores

Au-delà de l’aménagement des voiries pour faciliter les circulations éco-responsables, il faut vraiment, sur un terme le plus court possible vu l’urgence climatique, diminuer la part des véhicules thermiques dans les déplacements urbains où d’autres déplacements sont possibles. Il faut encourager les déplacements éco-responsables d’une part, et inciter à ne pas utiliser des véhicules thermiques.

La cohabitation pacifique entre les différents moyens de déplacements doit évidemment être la règle.

Une évolution progressive est possible

L’évolution des infrastructures doit se faire de manière raisonnée, vis-à-vis de leur impact carbone. Si il faut 20 ans de circulation douce pour amortir les émissions d’une réfection de voirie, on ne résout pas correctement le problème.

Bailly Noisy en Transition participe à la Commission Inter-communale Mobilités Douces récemment initiée conjointement par les mairies de Bailly et Noisy-le-Roi, et dans la lignée de ce partenariat, et nous vous avions proposé récemment de participer à une enquête concernant les parkings à vélos de nos villes.

Celle-ci a permis de mieux connaître les besoins de la population locale afin d’informer la municipalité des améliorations à apporter pour valoriser ces modes de déplacements.

Si, vous aussi, vous voulez faire parti du changement en ce qui concerne la mobilité dans nos villes, n’hésitez pas à rejoindre l’association !

vélo roulant sur un passage piéton, pour illustrer la cohabitation entre les vélos et le milieu urbain